
Peut-on, et comment, envisager le “dépérissement de l’État” ? Faut-il le réformer en profondeur ou faut-il progressivement faire passer, transformer ses prérogatives en construisant un autre type de citoyenneté ? Comment éviter que le dépassement de l’État aboutisse à un émiettement de l’alternative et à produire de l’incohérence ? Cet objectif doit il s’envisager une fois que le pouvoir d’État a changé de main ou est-il une visée ayant des effets immédiats sur les comportements et sur la vie politique ?