Séance N° 10 – Avril 2015
Peut-on, et comment, envisager le “dépérissement de l’État” ? Faut-il le réformer en profondeur ou faut-il progressivement faire passer, transformer ses prérogatives en construisant un autre type de citoyenneté ? Comment éviter que le dépassement de l’État aboutisse à un émiettement de l’alternative et à produire de l’incohérence ? Cet objectif doit il s’envisager une fois que le pouvoir d’État a changé de main ou est-il une visée ayant des effets immédiats sur les comportements et sur la vie politique ?
SOMMAIRE
Les changements du rôle de la Justice dans le contexte économique – Évelyne Sire-Marin – 3
Construire une nouvelle culture politique – Pierre Zarka – 7
Commencer par les luttes- Claire Kirkyacharian – 10
Le rapport à l’argent – Paule Lanta – 10
Les changements de nature de l’État – Daniel Rome – 11
Qu’est-ce que le travail dans cette société ? – Pierre Sauve – 12
Nécessaire débat sur la nature de l’État – Jacques Simon – 13
Que s’agit-il de détruire ? – Laurent Lévy – 14
Rompre avec la dépossession dans et hors des institutions – Gilles Alfonsi – 15
La République et la délégation de pouvoir – Jean-Claude Mamet – 18
Approfondir la question des droits – Pierre Cours-Salies – 19
Convergence des aspirations et projet global – Jean Brafman – 21
Réaction – José Tovar – 22
Le fossé entre les situations sociales et le discours radical – Anne Jollet – 23
À propos du dépérissement de l’État – François Langlois – 24
Mutations de l’État et stratégie de révolution démocratique – Francis Sitel – 25
Réaction- Gilles Alfonsi – 26
La transition, pour pousser la démocratie jusqu’au bout – Alain Montaufray – 27
Le combat pour l’humanisation de la Justice – Eveline Sire-Marin – 28
L’enjeu de la maîtrise du processus de transformation par les intéressés – Pierre Zarka – 29
Prendre du pouvoir sur les décisions collectives et sur nos vies – Bruno Bessière – 30