
Comment ne pas laisser les institutions aux néolibéraux et aux sociolibéraux ? Comment ne pas se faire manger par les logiques institutionnelles ? Ces enjeux sont les deux faces d’un même questionnement sur les rapports entre émancipation et démocratie. Ils ne concernent pas seulement les élus, qui cherchent à élargir le champ des possibles malgré les contraintes ; ils appellent une nouvelle façon de concevoir l’action politique en général. Quels axes fondamentaux du communisme peuvent-ils être des points d’appuis pour cela ?