
Séance N°4 – Septembre 2013
Questionnement initial :
Les échecs des régimes se réclamant du communisme à l’Est de l’Europe sont moins présents dans le débat public. Cependant, plutôt que de tourner la page, n’est-ce pas le bon moment pour se demander : y a-t-il eu, ou pas, un “communisme du XXe siècle”, qu’est-ce qui le caractérise et comment se débrouiller avec son héritage ? Afin que l’histoire ne se répète pas et pour mieux armer le combat pour l’émancipation, cette séance pourrait pointer les “angles morts” des communismes politiques également.
SOMMAIRE
Introduction
Angles aveugles et expériences contradictoires du communisme – Catherine Samary 3
Assumer la contradiction, pour la dépasser – Roger Martelli 10
Interventions
Quel périmètre de discussion ? – Michel Mouréreau 12
L’apport de l’anarchisme – Georges Simard 12
Travailler sur le communisme : une nécessité ignorée – Bernard Calabuig 13
Un passé qui pèse encore aujourd’hui – Pierre Zarka 14
Actualité du communisme après Thermidor – Pierre Cours-Salies 16
Au-delà du droit, quelle démocratie dans les faits ? – Laurent Lévy 19
Articuler la démocratie politique citoyenne et l’auto-organisation – Jean-Claude Mamet 20
Des questions stratégiques anciennes… et toujours d’actualité – Alain Montaufray 22
Angle mort du culte de la personnalité – Richard Lagache 24
Qui est communiste ? – Patrick Vassalo 26
Travailler ensemble la théorie et la pratique – René Moustard 27
Un exemple d’angle aveugle : le système colonial dans La vie est à nous – Gilles Alfonsi 28
L’angle mort de la question coloniale – Catherine Bottin-Destom 29
Le processus de rupture doit être pratique, pas seulement théorique – Roger Martelli 30
Reprendre l’histoire et actualiser – Catherine Samary 31